A Bouaké, deuxième ville de Côte d'Ivoire, située au centre du pays, avaient été rassemblés de 1969 les divers éléments pédagogiques, administratifs, techniques et matériels (locaux et équipements) nécessaires à la mise en œuvre du PETV (Programme d'éducation télévisuelle).
Ce label de prestige balise déjà dans le monde près de huit cents sites protégés, naturels ou culturels. Décerné par le Comité du patrimoine mondial, comité intergouvernemental qui se réunit sous l'égide de l'Unesco pour favoriser la protection de ces sites exceptionnels, il est de plus en plus convoité par les Etats et reproduit sur les dépliants touristiques.
Qu'est-ce qu'une (un) F.P.O. ? Dans le langage des Nations Unies, F.P.O. est le sigle de "Field Programme Officer" : en bon français, le (la) fonctionnaire chargé(e) des activités opérationnelles sur le terrain.
L'EAU n'est pas mentionnée dans l'Acte constitutif de l'Unesco. Pourtant, si aujourd'hui l'opinion mondiale est consciente de l'enjeu de survie planétaire lié à la gouvernance de l'eau, cela est dû dans une large mesure aux programmes scientifiques que l'Unesco a conçus et mis en œuvre au cours d'un quart de siècle.
Des temples s'effondrent, des chants et des danses s'oublient, des traces archéologiques s'envolent. La mémoire des premiers bâtisseurs s'efface au fil du temps, des intempéries et de la violence des hommes. Chérir le patrimoine, en prendre soin comme d'un trésor à léguer aux nouvelles générations est un défi que l'UNESCO ne cesse de relever depuis sa création. Pourquoi ? Parce que, au sortir de la Seconde guerre mondiale, ses Pères fondateurs comprirent cette évidence, dont se sont fait l'écho ces mots gravés sur le mur du Musée de Kaboul ravagé par plus de vingt ans de conflits : "Une nation est vivante lorsque sa culture reste vivante".